Trois
Friday, June 18, 2010Bien que Sub Pop l'annonce pour le 29 juin, le troisième album de Wolf Parade est disponible ici. Ils parviennent à nous faire oublier la mollesse de At Mount Zimmer.
Par Arnaud
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Bien que Sub Pop l'annonce pour le 29 juin, le troisième album de Wolf Parade est disponible ici. Ils parviennent à nous faire oublier la mollesse de At Mount Zimmer.
Par Arnaud
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Tout est dans le titre.
Par Arnaud
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Écrire sur Supreme reviendrait à tenter de définir le mot "cool". A l'occasion de l'arrivée du Supreme Book dans les librairies décentes, je m'essaye à ce délicat exercice.
Le sur-mesure est, avec l’espace, le seul luxe qui ait de l’intérêt à mes yeux. Il permet de s’approprier complètement un bien de consommation plus où moins courant qui en devient alors tout à fait unique. Avec ses collaborations matérielles et humaines, Supreme va plus loin. Supreme fait son propre sur-mesure mais le fait en série, avec un écho universel.
Vous avez d’un côté un objet courant, reconnu pour ses qualités de fabrication dont la longévité a créé le mythe, comme les gants de boxe Everlast, les couteaux Buick ou les ballons de basket Spalding. De l’autre, le logo Supreme, Futura Bold Italic empruntée à Barbara Kruger, sorte de perfection de simplicité qui, imprimé en stickers, permet de rendre cool, drôle ou cynique n’importe quoi, d’une planche de skate au bikini de Kate Moss sur les pubs Calvin Klein des années 90. Mélangez-les et vous obtenez un genre d’hybride parfait.
« Yo, nous les mecs de Supreme on est comme tout le monde, on utilise les mêmes objets que tout le monde mais on est également uniques alors on veut rendre ses objets uniques. »
Comme le dit Glen O’Brien dans la préface du livre, « Supreme isn’t humble, because it’s not submissive or apologetic, but it is modest in the root meaning of the word. It is measured. It doesn’t promise what it can’t deliver. It’s unpretentious. It doesn’t waste fabric or words or attitude. »
Les objets sont une chose, mais Supreme c’est de l’humain, même si les gens y sont désagréables. Les vraies collaborations sont celles qui ont lieu entre l’entité humaine Supreme et une personnalité ayant une réputation de coolitude et de légitimité universelle. De Raekwon à Lou Reed en passant par Mike Tyson ou Kermit, tous ont accepté de poser en t-shirt Supreme, sous l’objectifs de Terry Richardson ou Kenneth Cappello. Le résultat nous dit : « nous sommes tellement cools qu’on porte du Supreme, et Supreme est tellement cool que nous le portons… »
Le Supreme Book est l’un des ouvrages les plus intéressant de ma bibliothèque, c’est peut-être pour cela que j’ai tant de mal à écrire dessus. Achetez-le, vous comprendrez.
Par Foucauld
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Un mardi polisson avec Pierre Vassiliu en vadrouille à Montpellier. Pour les parisien, il reste le lancement du second numéro de l'Imparfaite…
Par Foucauld.
Comments (0) UncategorizedLe sein gonflé côtoie la jambe en lambeau. L'un est greffé à une taille exquise, l'autre stagne sur une table mortuaire. Voilà le genre d'associations que l'on rencontre sur Baroque Patchwork. Du grain à moudre pour lendemains difficiles.
Par Arnaud
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En premier, un maître : Guido Mocafico. En dessous : celui qui n'aurait pas dû essayer de se construire une street cred' à base de Glock 19 mal éclairé. Le jour et la nuit.
Par Arnaud
Comments (0) UncategorizedSous l’excitation de la découverte, tardive, je me laisse aller à une légère exagération : le meilleur remix jamais pondu par les deux chevelus.
Par Arnaud
Comments (0) UncategorizedLe résultat d’une journée et d’une migraine.
Par Arnaud
Comments (0) UncategorizedLIFE offre toutes ses anciennes éditions en accès libre ici. On feuillette et on attrape rapidement ce sentiment étrange de relire son cours d'histoire de terminale entrecoupé de pubs coca. Si vous n'avez ni l'envie ni le courage de vous plonger dans ces amuse-gueules pour historiens, les couvertures méritent un petit saut dans le temps.
Par Arnaud
Comments (0) UncategorizedLes photographies de gitans par Pierre Gonnord, Séville, contrebalancées par les expérimentations en porcelaines de Kuehn Keramik, Berlin.
Par Arnaud
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