La Conjuration a 1 an
Monday, September 21, 2009Aujourd’hui, la Conjuration a un an. Bilan ? Rapport annuel ? Non, ça m’emmerde. Rien à foutre des chiffres et des fluctuations du trafic. Ce dernier nous donne une visibilité conséquente mais je crois que même sans lecteurs nous aurions tenu ce blog. La Conjuration nous permet une chose toute simple : garder le meilleur de chaque journée, de ce que nous vivons et de ce que nous voyons. Un genre de best of quasi quotidien qu’il est agréable de parcourir en cas de pane d’inspiration ou pour voir le chemin parcouru.
Au début il y avait des articles aux faux airs des dossiers de presse que nous ne recevions pas, des chroniques gastronomiques faites pas des palais primaires ou des sélections de vêtements que nous n’achetions jamais. Puis l’obsession du post journalier s’est dissipée et le ton s’est précisé. Nous ne suivons plus que nos envies, quitte à verser dans l’excès. Peu importe, nous n’avons jamais été des personnes tempérées. Nous passons du coq à l’âne ? Peut-être au premier abord mais sur un plus long terme je crois que cette variété définit une esthétique. A vous de juger, aidé de ces trois phrases données en exemple :
1/ Une phrase incisive et précieuse issue de la dernière chronique de François Simon : « J'entends d'ici les esthètes hennir d'indignation »
2/ Une phrase punk et jemenfoutiste provenant de la clôture de l’interview des frères Chaboud par Ben Aurélien dans un vieux Tricks Skatemag : « Et à tous ceux qui nous détestent, qu’ils continuent, on s’en bas lec’ ! »
Une phrase de « Speedway » de Morrissey, puisée dans le live dévot diffusé ci-après
All of the rumours
Keeping me grounded
I never said, I never said that they were
Completely unfounded
Par Foucauld
Beau boulot ! évolutions prévues ? blogrolling bientôt ?
Bisou
happy birthday la conjuration..
You must be logged in to post a comment.