Le chant des sirènes…
Wednesday, August 4, 2010"Une femme, quand elle est jeune, est plus sensible au plaisir d’inspirer des passions, qu’à celui d’en prendre : ce qu’elle appelle tendresse, n’est le plus souvent qu’un goût vif, qui la détermine plus promptement que l’amour même, l’amuse pendant quelque temps, et s’éteint sans qu’elle le sente, ou le regrette : le mérite de s’attacher un amant pour toujours, ne vaut pas à ses yeux celui d’en enchaîner plusieurs."
Claude-Prosper Jolyot de Crébillon : "Les Égarements du cœur et de l'esprit"
Par Foucauld
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